FAQ

A la fin de la guerre 14-18, certains Névéziens ayant combattu aux Dardanelles et à Salonique, sont rentrés à Névez vêtus à façon des Bulgares. En traversant à pied Pont-Aven, ils ont été questionnés sur leur tenue. En écoutant leurs explications, les Pontavenistes les baptisèrent du nom de Bulgares.
Elle a été habitée jusqu’à la guerre 39-45 par la famille Marrec qui vivait de la pêche et de l’agriculture. Elle fut investie et fortifiée par les Allemands sous l’Occupation. Depuis, la maison est occupée de temps à autre par les actuels propriétaires de l’île.
Cela fait partie d’une légende qui s’est construite par la réunion de deux éléments : 1. des photos montrant un troupeau de vaches dans l’eau au pied de l’île de Raguénez. 2. la présence, sur l’île Verte, d’une herbe iodée de haute qualité que des paysans venaient couper pour l’alimentation de leurs bêtes. Le nom breton de l’île est « Enez yeod » c’est-à-dire « l’île aux herbes ».
L’amer est un repère artificiel qui, combiné à d’autres repères, permet d’effectuer des mesures de vitesse de navires. De telles mesures ont eu lieu au large de Névez entre 1911 et 1971. Un autre amer se trouve sur l’île Verte. Il a servi de cible pour des tirs d’essai allemands durant l’Occupation.
Contrairement à ce que l’on pense généralement, ce ne sont pas des lavoirs, mais des bassins de rouissage du lin ou du chanvre. Le rouissage est l’opération qui consiste, par trempage prolongé, à décortiquer les tiges de ces plantes, avant de pouvoir les travailler. Névez était autrefois gros producteur de lin et de chanvre, et possédait des ateliers de tissage.
Il y a 5 chapelles à Névez en plus de l’église paroissiale : Sainte-Barbe au Bourg Notre Dame de la Clarté à Tremorvezen Saint-Nicolas à Port-Manec’h Saint-Mathieu à Kerhas Sainte-Marguerite au Hénan S’y ajoute la chapelle privée du château du Hénan. Il existait 2 autres chapelles qui ont disparu bien avant la Révolution : l’une à Kerrun, l’autre à Kerlan.
L'origine du nom de la plage est l’objet d’interprétations aussi imaginatives qu’invraisemblables : nom inspiré par Gauguin ou même baptisée par lui… alors qu’il était mort ! Souvenir de marins au long cours retrouvant ici les plages de sable fin et la mer turquoise. La vérité est plus simple : A la fin des années 50, Pierre Picard industriel de Rosporden, achète le terrain dominant la plage de Korn Loc’h. Il y plante des pins et installe une paillote, une table et des bancs. En voyant cette paillotte, des pêcheurs de Tremorvezen commencent à évoquer Tahiti. Le bouche à oreille fait le reste jusqu’à conduire à l’officialisation du nom en lieu et place de Korn Loc’h. Le petit-fils de Pierre Picard se souvient avoir planté les pins avec son grand-père ; la paillote était un simple tronc d’arbre sur lequel avait été posé un grand « chapeau de paille ».
Le Département du Finistère, propriétaire du moulin, étudie actuellement la possibilité de visites en liaison avec la Commune et l’association Patrimoines de Névez. Pour l’instant, il n’y a pas de visites programmées de façon régulière.
C’est un « amer », repère érigé par la commune à la demande de la Marine Nationale en 1910. Associé à d’autres repères (Ile Verte, Riec-sur-Bélon…) il servait jusqu’en 1971 à effectuer des mesures de vitesse pour des navires sortis des chantiers navals, en particulier de Saint-Nazaire. L’avènement du GPS a rendu les amers peu utiles.
C’est en 1903 que Julia Guillou (« Mademoiselle Julia »), hôtelière à Pont-Aven, fait construire dans le petit port de pêche de Port-Manec’h un hôtel qui deviendra un lieu de villégiature fréquenté par la « bonne société ». Cette implantation donnera le signal d’un important développement urbanistique qui se poursuivra tout au long du XXème siècle.
Login/Sign up
Previous Next
Close
Test Caption
Test Description goes like this